Nymphéas. L'abstraction américaine et le dernier Monet

Saule pleureur, entre 1920 et 1922
Musée d'Orsay
© RMN-Grand Palais (Musée d’Orsay) / Michèle Bellot
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Saule pleureur, entre 1920 et 1922
Musée d'Orsay
Donation sous réserve d'usufruit Philippe Meyer, 2000
© GrandPalaisRmn (musée d'Orsay) / Adrien Didierjean
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Monet est alors présenté comme « une passerelle entre le naturalisme du début de l'impressionnisme et l'école contemporaine d'abstraction la plus poussée » de New York, ses Nymphéas mis en perspective avec les tableaux de Pollock, tels que Autumn Rhythm (number 30), 1950. La réception du dernier Monet s'opère alors en résonance avec l'entrée au musée de l'expressionnisme abstrait américain. Au même moment est forgée la notion d’impressionnisme abstrait.
C'est sur ce moment précis de la rencontre entre la redécouverte des grandes décorations du maître de Giverny et la consécration de l'École abstraite new-yorkaise que l'exposition du musée de l'Orangerie s'arrête, à travers une sélection de quelques oeuvres tardives de Monet et une vingtaine de grandes toiles d'artistes américains tels que Rothko, Clyfford Still, Barnett Newmann, Morris Louis, Philipp Guston, Joan Mitchell...
L'exposition est maintenant terminée.
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